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La Nintendo Switch est un vrai succès dans le monde. De plus en plus d’éditeurs se lancent dans l’aventure que se soit des grands studio au plus petits, et ça, c’est vraiment génial. Cela augure que du bon pour l’avenir de la console de Nintendo et surtout à tous les possesseurs de la console qui peuvent être rassurés. Imaginez-vous un jeu qui est déjà sortie sur PS4/Xbox One ou PC; Doom par exemple. Il débarque sur la console de Nintendo, malheureusement, vous n’avez que la Switch comme console et que le jeu vous plaît énormément, lors de l’annonce de la date de sortie du jeu, vous allez avoir le sourire jusqu’aux oreilles !! Avec la Nintendo Switch, Nintendo vise également un plus grand public et il y en aura pour tous les goûts (petits et grands). On retrouve des jeux bien plus adulte (18+) qu’avant, même si la Wii U avait essayé dans ce domaine; le succès de cette dernière lui a été fatal et les éditeurs se sont vite éloignés. Si je vous parle de cela maintenant, c’est que je vais vous parler d’un jeu qui est dans la catégorie horreur, et bien entendu pegi 18+, déjà sorti sur PS4/Xbox One et PC en 2014 (je ne suis pas sûr), et débarque par surprise sur l’eShop en cette année 2018, il se nomme Outlast, et plus précisément Outlast: Bundle of Terror, disponible au prix de 24,99 euros. Sachez que le contenu additionnel Outlast : Whistleblower est inclue. Pour le moment aucune nouvelle pour une commercialisation d’une version boite. Au moment de sa sortie à l’époque, je ne possédais pas de PS4/Xbox One et je n’avais pas franchi le pas sur la version PC, mais aujourd’hui ayant une Nintendo Switch et adorant cette console, j’ai dit OUI tout de suite. Outlast: Bundle of Terror est un survival-horror pur et dur et je peux vous dire que ça fait un sacré bon moment que je n’ai pas autant flippé devant un jeu vidéo. Je vais être direct : OUI Outlast sur Nintendo Switch est une VRAIE réussite, malgré quelque petit point négatif.

Petit récapitulatif de l’histoire Outlast : Au cœur des montagnes reculées du Colorado, des horreurs hantent les couloirs de Mount Massive Asylum. Longtemps abandonné, cet établissement psychiatrique a récemment été rouvert par la division « Recherche et action caritative » d’une multinationale, la Murkoff Corporation. Ce qui se passe en ses murs est entouré du plus grand secret… ou du moins, l’était. Averti par une source anonyme, le journaliste freelance Miles Upshur pénètre clandestinement dans l’asile. Ce qu’il y découvre, terrifié, mêle science, religion, nature et… tout autre chose. Une fois à l’intérieur, son seul espoir de quitter les lieux repose sur la terrible vérité qu’abrite Mount Massive.

Résumé du DLC Outlast : Whistleblower : Ici on incarne Waylon Park, ingénieur logiciel travaillant pour Murkoff et auteur des courriers envoyés aux journalistes du monde entier, dont Miles, au début d’Outlast. Lors de son séjour de plusieurs semaines à Mount Massive, durant lequel il lui a été interdit de communiquer avec sa femme et son fils en raison des mesures de sécurité drastiques, Waylon a développé une profonde méfiance envers les scientifiques et les médecins, motivés exclusivement par l’argent et n’hésitant pas à mener des expériences irresponsables sur leurs patients. L’empathie de Waylon envers ces malheureux a alimenté sa colère et l’a conduit à dévoiler les manquements à l’éthique commis à Mount Massive.

Attention toutefois, l’épisode Whistleblower dépasse aussi le cadre temporel du premier opus et dévoile le chapitre final de l’histoire. Je vous conseille de commencer par le jeu de base puis de faire le DLC. Je trouve ça génial de pouvoir voir 2 points de vues différents, mais qu’elles sont liées entre elle. Dès l’introduction, le jeu balance le ton, on peux regarder de droite à gauche tout en conduisant notre voiture jusqu’à l’arrivée à Mount Massive Asylum, on rentre tout de suite dans cet univers sombre et maléfique, les bruits ne sont pas là pour nous rassurer, on sent déjà le stresse de notre reporter et je n’aimerais pas être à sa place. Que dire de cette version Switch côté technique ? Le jeu est beau, les effets de lumière, d’ombres… Tout est là pour nous mettre la TROUILLEEEEEEEE, alors oui, il ne tourne pas à du 60 fps, ici il faudra se contenter à du 30 fps que se soit en mode portable que dock, mais celui-ci reste constant. Je n’ai rencontré aucune baisse de framerate lors de mes longues sessions de jeu. Dans Outlast, oubliez-le « dézingage » à tout va, ici aucun moyen de défense, la seule chose à faire ici, face aux dangers : c’est de FUIR !!! On découvre tous ces malheurs en vue subjectif, le champs d’action de notre cher Miles Upshur est plutôt limité. Les seuls actions que l’on puisse faire sont : de sauter, se hisser, s’accroupir et de courir, ce qui est la base du jeu. Vous pouvez même pas imaginer le stresse que l’on peut ressentir, savoir que l’on n’a aucun moyen de se défendre. Faire « très » attention, lorsque l’on ouvre une porte, jeter des coups d’œil derrière nous, être toujours à l’écoute du moindre bruit, l’observation est PRIMORDIALE ici. Si on a le malheur de se faire repérer, cherchez vite un endroit où se cacher : sous un lit, dans un cassier… Cela ne suffira pas sur certains ennemis bien plus évolués, qui regarderont, comme par hasard sous un lit ou bien dans un cassier (là où vous serez cacher en faite), il sera alors question de fuir et surtout de bloquer l’avancée de nos poursuivants en poussant de lourds objets contre des portes. Miles Upshur n’a qu’avec lui sa caméra et cette dernière est VRAIMENT utile ici.

La quasi totalité du jeu se passe dans le noir, notre bonne caméra dispose d’un mode nocturne, mais attention il ne faudra pas en abuser, cela consommera des piles. Il faudra regarder attentivement autour de nous pour trouver ces petites piles dissimulées un peu partout, alors gardez l’œil bien ouvert !! Que dire de la bande-son ?? Elle est juste géniale !! Entendre des hurlements, des craquements un peu partout, des bruits bizarres, tout est là pour nous plonger dans cette ambiance glauque. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas eu cette sensation de peur/frisson en jouant. En comptant l’extension Whistleblower, le jeu a une durée de vie qui reste correcte. Elle nous tient en haleine pendant 5-6 heures. Un conseil : tentez l’expérience la nuit, Vous n’allez pas rigoler !!!!

Conclusion

Outlast: Bundle of Terror est une réussite sur Nintendo Switch. Le jeu est magnifique et reste fluide malgré ses 30 fps (dock/tablette). La bande-son n’est pas en reste. La durée de vie reste plus que raisonnable en comptant le DLC. Quel plaisir de jouer a un survival-horror en mode portable surtout quand celui-ci est une réussite.

Si vous possédez une Nintendo Switch et que vous adorez les survival-horror, foncez les yeux fermés et encore plus si vous n’avez jamais joué à cette série.

 

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